Gestion forestière durable

Rédaction de documents de gestion (PSG, RTG, CBPS, bilans de gestion), inventaires et estimations, accompagnement des propriétaires

Gestion forestière durable

Rédaction de documents de gestion forestière, auxquels sont intégrées les 3 fonctions de la forêt économique, écologique et sociale : 

  • Plans Simples de Gestion (PSG) obligatoires pour les propriétaires forestiers de plus de 20 ha ou volontaires.
  • Codes de Bonnes Pratiques Sylvicoles obligatoires dans le cadre d’exonérations fiscales ou volontaires
  • Suivis et bilans de gestion obligatoires dans le cadre d’exonérations fiscales ou volontaires 
  • Programmes de coupes et travaux pour une vision globale des revenus et investissements dans une propriété forestière.
  • Inventaires pour évaluer quantitativement et qualitativement un peuplement. 
  • Diagnostic de santé des forêts et des arbres

 

Gestion forestière durable

La gestion forestière durable est une activité qui se développe très fortement dans mon entreprise, grâce à la confiance que m’accordent les propriétaires forestiers. Dès que les conditions le permettent, je propose de gérer les forêts en futaie irrégulière, gestion douce et dynamique : c’est un peuplement d’arbres où sont représentés tous les âges et tous les stades d’évolution. Grâce à ce type d’intervention, on améliore en permanence la qualité des arbres tout en maintenant un couvert forestier et donc un capital d’arbres important : les coupes de bois sont régulières et rémunératrices. Je favorise le mélange des essences dans les peuplements pour apporter de multiples intérêts à la forêt.

    Futaie Irrégulière Résineuse

    Le but de la Futaie Irrégulière Résineuse (FIR) est d'étaler les revenus en coupant des gros bois régulièrement. On travaille à répartir les classes de diamètres des arbres de façon à avoir un renouvellement constant et à optimiser la croissance des arbres. On ne passe pas par le stade de plantation puisque les peuplements se régénèrent eux mêmes, on favorise cette régénération. On évite alors les risques de mauvaises reprises des plantations dus aux sécheresses de plus en plus fréquentes.

    Les revenus sont donc très réguliers, et la qualité des arbres est améliorée constamment grâce à une sélection continuelle.

     

     

     

    marteau

    martelage

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    Le marteau forestier

    Le martelage forestier est un travail réalisé depuis plusieurs générations de forestiers. Depuis Colbert, ministre et conseiller de Louis XIV, cet acte s’est généralisé aussi bien dans les forêts royales, publiques aujourd’hui, qu’en forêt privée.


    Le travail du forestier lors du martelage est d’abord de sélectionner les plus belles tiges, appelées tiges d’avenir. On les visualise, ou on les signalise à la peinture. Ces tiges d’avenir sont amenées à être favorisées, et à rester jusqu’à leur maturité : ce sont des arbres de futaie de valeur. Une fois ces tiges sélectionnées, on va travailler à leur profit : on prélève d’abord les arbres dépérissants et malades puis ceux qui gênent nos tiges d’avenir. Dès qu’un arbre est choisi pour être coupé, on va le marteler.


    Le martelage, effectué à l’aide du marteau forestier, consiste à donner un coup de hache pour couper l’écorce, et de marteler la marque du marteleur. Le marteau forestier est composé d’un côté d’une hache, et de l’autre de la marque du propriétaire du marteau, une sorte de tampon. La marque est celle du gestionnaire de la forêt ou du propriétaire, chaque marque est propre à chacun : l’ONF – Office National des Forêts – sa marque, chaque technicien, expert ou coopérative a sa marque. Le martelage se fait « au corps », soit à hauteur d’homme sur deux faces opposées, et « au pied », soit sur une des racines de l’arbre. Les marques au corps servent au futur abatteur, bûcheron ou abatteuse, à repérer les bois à couper. Une marque ou un numéro à la peinture peuvent être ajoutés afin de faciliter la visibilité des bois. La marque au pied permet de contrôler après coupe que les bois prélevés sont bien ceux qui avaient été martelés.


    Le marteau utilisé par la Sarl Taurë n’a pas la marque de la société. En effet, le marteau a été offert par Bruno de Luget. Bruno de Luget est un ancien expert forestier en retraite, fondateur du GEDEFY, représentant dans différentes organisations et organismes forestiers, notamment au bureau du CETEF de l’Yonne et au bureau du syndicat des propriétaires forestiers privés de l’Yonne. Romain Rozand est intervenu dans la propriété de Bruno de Luget dans l’Yonne pendant plusieurs années, et notamment après une tempête en 2013 qui a ravagé une partie de sa propriété. La forêt principalement feuillue, composée de chênes plusieurs fois centenaires, a subi des chablis et des volis dus à de fortes rafales de vents. Une fois toutes les coupes et travaux effectués post-tempête, Bruno de Luget a offert son marteau à Romain Rozand en reconnaissance d’un travail de qualité, d’un investissement personnel significatif, et d’une gestion durable des forêts.

     

     

    Plan simple de gestion


    Le Plan Simple de Gestion – PSG – est un document de gestion durable, volontaire ou obligatoire pour les propriétaires de plus de 25ha d’un seul tenant, qui oriente les propriétaires vers une gestion durable de leur forêt. Le propriétaire s’engage à s’occuper activement de sa forêt en suivant les recommandations du Schéma Régional de Gestion SylvicoleSRGS – de sa région.

    Ce document très complet est composé des renseignements généraux de la forêt et des propriétaires, des données géologiques, pédologiques, climatiques, des descriptions des peuplements, des objectifs des propriétaires et de la forêt, d’un programme des coupes et travaux pour les 10 à 20 ans à venir, et de cartographies de la propriété.

    Le PSG est le document de base pour gérer activement sa forêt : le propriétaire s’y réfère pour envisager ses coupes et travaux, suivre l’évolution de sa forêt, prévoir ses rémunérations et ses investissements… Il permet de bénéficier d’exonérations fiscales types Impôts sur la Fortune Immobilière – IFI - et engagements Monichon, et aussi pour pouvoir bénéficier de diverses subventions dont les aides à l’investissement forestier.

    Le coût d’un PSG est très variable et dépend de la charge de travail à réaliser pour qu’il soit complet et valide : en général, il faut compter environ 10€/ha pour un PSG valide en concertation avec le propriétaire, pour un document de 25 à 40 pages cartographie comprise.

    Taurë rédige des Plans Simples de Gestion et élabore des cartographies de peuplements pour les propriétaires forestiers ainsi que des bilans de gestions annuels qui sont nécessaires dès que les propriétaires ont bénéficié de défiscalisation.

     

     

     

    Réalisation d'un Code de Bonnes Pratiques Sylvicoles

     

     

    Réalisation d'un plan simple de gestion

     

    Code de Bonnes Pratiques Sylvicoles

    Le Code de Bonnes Pratiques SylvicolesCBPS – est un document de gestion durable simple adapté aux propriétés forestières inférieures à 25ha, qui oriente les propriétaires vers une gestion durable de leur forêt. Il est volontaire et facultatif, et engage le propriétaire à s’occuper activement de sa forêt en suivant les orientations du Schéma Régional de Gestion SylvicoleSRGS – de sa région. En Bourgogne, les CBPS sont déclinés par grandes zones forestières : côtes calcaires, plateaux calcaires, Morvan et annexes cristallines, zone est continentale, zone ouest atlantique, zone de transition.

    L’intérêt du CBPS réside dans sa simplicité, il est gratuit dans sa version de base, et reste peu onéreux pour une version améliorée. Dans le cadre d’exonérations fiscales types Impôts sur la Fortune Immobilière – IFI - et engagements Monichon, et aussi pour pouvoir bénéficier de diverses subventions dont les aides à l’investissement forestier, le CBPS doit être complété par un programme de coupes et travaux. Ce document que l’on retrouve aussi dans les Plans Simples de Gestion – PSG - liste les prévisions de coupes et de travaux par année sur les 10 à 20 ans à venir. Ce programme doit être suivi, avec une tolérance de plus ou moins 4 ans.

    Taurë rédige des programmes de coupes et travaux et élabore des cartographies de peuplements pour les propriétaires forestiers ainsi que des bilans de gestions annuels qui sont nécessaires dès que les propriétaires ont bénéficié de défiscalisation.


    Bilans de gestion

    Le bilan de gestion est un document à fournir à la Direction Départementale des Territoires – DDT – tous les 10 ans si vous avez bénéficié d’exonérations fiscales type « Monnichon » ou « Impôts sur la Fortune Immobilière – IFI- ». Un document de gestion durable pendant 30 ans est obligatoire dans le cadre d’exonérations fiscales.

    Le régime « Monnichon » permet une exonération partielle des droits de succession ou de donation pour la forêt. Dans le cadre de L’IFI, les forêts peuvent être exonérées des ¾ de leur valeur, cette exonération s’applique aux parts de groupements forestiers.

    Bien que facilement réalisable par les propriétaires forestiers, Taurë rédige des bilans de gestion.

     

    Romain Rozand réalise un inventaire forestier

    Romain Rozand réalise un inventaire forestier pour évaluer la valeur financière d'une forêt.

    L’inventaire forestier a pour but de connaître différentes données liées à une parcelle ou à une forêt telles que : nombre de tiges, volumes, hauteurs, qualités, valeur, surfaces terrières… C’est un outil d’évaluation qui sert généralement à évaluer financièrement une propriété, et à aider à la gestion forestière.

    On distingue 2 modes d’inventaires :

    • L’inventaire en plein, dit pied à pied : tous les arbres de la parcelle sont mesurés à partir d’un diamètre minimum. Très précis, il est adapté à de petites surfaces, à des peuplements homogènes comme en futaie régulière, et est nécessaire dans des peuplements très hétérogènes.
    • L’inventaire statistique par placettes : on réalise 1 à 4 placettes par hectare, pour obtenir une moyenne sur la globalité d’une propriété forestière. Moins onéreux, on parcourt une surface importante en peu de temps, et on peut ajouter des données telles que des surfaces terrières, des relevés botaniques et pédologiques. Ce type d’inventaire est souvent utilisé pour évaluer des surfaces importantes.

    On adapte le type d’inventaire à chaque situation.

     

    Diagnostic de santé

    Suite aux épisodes de sécheresses, de prolifération de divers insectes, à des coups de foudre lors des orages, à de mauvais traitements ou tout simplement par le vieillissement, certains arbres et peuplements montrent des signes de fatigue, de dépérissement. Une surveillance est nécessaire dès les premiers signes : certains arbres arrivent à reprendre de la vigueur sans intervention, tandis que d’autres ont besoin de soins pour continuer à vivre, voire d’être coupés pour éviter une propagation de maladie à d’autres arbres d’un peuplement. On distingue les arbres de forêt et les arbres de parcs et jardins, les interventions pour enrayer les problèmes sanitaires sont différentes.

    Arbres de forêt


    Les maladies ou insectes en forêt sont connus et malheureusement souvent répandus. La météo, le changement climatiques et les difficultés d’accès à certains peuplements ne permettent pas d’éradiquer les problèmes sanitaires, mais on travaille à les freiner voire à les éviter. Chaque problème sanitaire concerne un nombre restreint d’essences, ici les problèmes sanitaires les plus courants en Bourgogne résumés succinctement :

    • Hylobe : l’hylobe, ou plutôt les hylobes sont des insectes qui ravagent les jeunes plantations. Ils mangent l’écorce tendre des jeunes plants, ce qui stoppe les flux de sève dans l’arbre et provoque généralement sa mort. Plusieurs solutions peuvent être envisagées, comme le traitement contre l’hylobe en pépinière avant que les plants soient introduits en forêt. Une autre solution peut être de régénérer naturellement les peuplements et de limiter les plantations : les semis sont plus résistants, ils n’ont pas le stress de la transplantation, ils sont aussi beaucoup plus nombreux en général. Même si une partie des semis ont été attaqués, il reste souvent une bonne proportion de tiges saines, et les semis n’ayant pas tous le même âge, certains se font attaquer pendant que d’autres résistent.
    • Scolyte : largement visibles depuis quelques années les peuplements d’épicéas rougissent, surtout ceux de plaine, en versant sud qui maquent d’eau et d’humidité. Le scolyte aussi appelé bostryche typographe creuse des galeries à l’intérieur de l’écorce faisant mourir l’arbre hôte. Il se développe rapidement dès que les conditions lui sont favorables, notamment dès que les chaleurs s’installent, et il peut y avoir plusieurs vagues de reproduction de ces scolytes. Le bois n’est pas touché si les arbres sont exploités rapidement. Actuellement, la seule solution pour limiter la prolifération des scolytes est de couper les arbres atteints, et un périmètre de 10 à 15m autour de ces bois, puisqu’il ne vole que sur quelques mètres. La surveillance doit être constante dès le printemps pour ne pas laisser proliférer cet insecte. L’afflux de volume d’épicéas sur le marché dû aux scolytes fait baisser considérablement le prix de cette essence.
    • Chalarose : ce champignon microscopique attaque le frêne et fait mourir les jeunes feuilles et jeunes rameaux. On observe souvent un dépérissement, ce qui mène à la coupe de l’arbre. Le bois n’est pas déprécié s’il est coupé encore vert. Il peut y avoir de forts impacts sur des peuplements de frênes purs.
    • Chancre : ce champignon attaque le châtaignier, fait sécher et craqueler son écorce, puis peut entraîner sa mort. Il y a peu de moyens de lutte contre le chancre, les rejets de châtaigniers sont atteints eux aussi.
    • Nécrose cambiale : souvent repérée sur les douglas, et probablement dû à des coups de soleil après une forte mise en lumière, l’écorce se craquelle. Elle ne provoque pas elle-même de problèmes sanitaires à l’arbre, mais permet aux champignons de se développer à l’intérieur de l’arbre. L’arbre cicatrise généralement mais le bois nécrosé est généralement déclassé en qualité.
    • Processionnaire : cette chenille mange les aiguilles de pins ou des feuilles de chêne suivant l’espèce. La croissance des arbres est alors ralentie, puis ils peuvent s’affaiblir suite à des attaques répétées. Dans la plupart des cas, elle ne provoque pas la mort de l’arbre.
    • Puceron lanigère : le puceron attaque principalement le clone I214, et peut se reproduire une dizaine de fois la même année. Les peuplements doivent être suivis constamment pour éviter sa propagation, qui provoque la mort des arbres et s’étend aux voisins. La coupe du peuplement ou d’une partie du peuplement doit être envisagée dès l’apparition des pucerons.
    • Rouille : connu depuis longtemps, ce champignon provoque le dessèchement prématuré des feuilles des peupliers. La croissance des arbres est alors ralentie, si les arbres sont arrivés à un diamètre exploité, il est conseillé de programmer la coupe, et de planter un nouveau clone plus résistant aux agents pathogènes.
    • Sécheresse : devenues courantes, les sécheresses n’interviennent plus seulement ponctuellement l’été, mais aussi à l’automne, au printemps, avec des périodes plus ou moins longues. Les arbres souffrent des sécheresses qui leur provoquent un stress, certains s’adaptent pendant que d’autres meurent. Les conséquences des sécheresses se constatent plusieurs années après les sécheresses. On a constaté des dépérissements dans les années qui ont suivies la canicule de 2003. Plus récemment, la sécheresse de 2018 impacte les peuplements actuels, et il faut suivre les peuplements les plus sensibles, les essences les moins résistantes, les versants sud et ouest séchants, les terrains superficiels, sableux… Les peuplements mélangés résistent mieux aux déficits hydriques.
    • Tempêtes : elles surviennent aussi de plus en plus régulièrement, notamment depuis 1999 qui a marqué tous les forestiers. En 2009 dans les Landes, en Bourgogne en 2007 entre Gueugnon et Autun, toujours en Bourgogne en 2013 entre Auxerre et Chatillon sur Seine… et quelques bourrasques plus localisées. Des peuplements éclaircis régulièrement résistent mieux, ainsi que les peuplements mélangés.
    • Cervidés : les chevreuils et les cerfs abroutissent les jeunes arbres, les frottent et provoquent des malformations. L’augmentation générale de gibier pose de plus en plus de problème à la régénération des peuplements, la solution est de les réguler, de façon à avoir un équilibre sylvo-cynégétique.

    Des solutions sylvicoles durables existent pour la plupart de ces problèmes. Certains peuplements sont moins sensibles : les peuplements d’essences mélangées, en station, d’âges différents… La gestion en futaie irrégulière limite les impacts sanitaires sur les peuplements, et des interventions régulières permettent d’intervenir rapidement dans un peuplement structuré. Les essences cohabitent dans un même milieu, et favorisent la biodiversité : une faune et une flore plus importante et plus diversifiée se développent naturellement.

    Arbres de parcs et jardins


    Les arbres de parcs et jardins se traitent de manière différente, en effet, on coupe moins rapidement les arbres en essayant de les tailler et de les soigner. L’impact visuel est beaucoup plus important. Les agents pathogènes vus précédemment impactent aussi les arbres de parcs et jardins, complétés par d’autres devenus courants :

    • Pyrale du buis : cette chenille mange les feuilles et les jeunes écorces du buis, ce qui le fait mourir à terme. Il y a peu de moyens de luttes contre cet insecte ravageur.
    • Foudre : bien que la foudre tombe aussi sur les peuplements forestiers, l’impact est différent dans les parcs et jardins, représentant un éventuel risque de sécurité. La foudre peut toucher tous types d’arbres, généralement les plus hauts sont touchés en premier ou plus régulièrement. C’est généralement la cause de mortalité des Séquoias géants ou des douglas des parcs et jardins. Elle traverse l’arbre provoquant une fente hélicoïdale, parfois en le faisant éclater. Certains arbres restent vivants, cicatrisent, et on peut constater parfois plusieurs coups de foudre sur de vieux Séquoias géants par exemple. Généralement, les arbres finissent par sécher et deviennent dangereux, des branches risquent de tomber. L’électricité apportée se véhicule par les racines, ce qui peut faire mourir les arbres voisins de celui foudroyé. Le comportement du bois peut être très varié, puisqu’on peut ne constater aucun impact, ou alors un bois qui durcit et qui devient très difficile à scier.

    D’autres maladies, insectes ou causes existent, c’est la raison pour laquelle il est nécessaire de diagnostiquer ces agents pathogènes et d’agir en conséquence, en taillant les arbres ou en les évacuant. Il est parfois indispensable de démonter les arbres en les coupant à partir de la cime pour de pas provoquer de dégâts dans les jardins.


        Des solutions peuvent être apportées pour la plupart des situations que ce soit en forêt ou dans les parcs et jardins. Plus on diagnostique rapidement les agents pathogènes, plus il est aisé d’intervenir et de limiter les dégâts. Les aléas climatiques sont de plus en plus récurrents et variés, chacun est confronté à ces contraintes et doit agir. La Sarl Taurë intervient et sensibilise au quotidien face à ces contraintes, en gérant durablement les forêts et parcs et jardins pour notre avenir et celui de nos enfants.

     

    Epicéas scolytés

    Scolyte

    Arbre sélectionné pour la biodiversité

    Exploitation frênes chalarosés

    Douglas - Nécrose cambiale

    Exploitation châtaigniers chancrés